Une pensée Africaine interpelle en ces termes « Suivre des ânes pendant 25 ans dans les dédales des brousses et des broussailles, deux choses inévitables vous arrivent : soit vous parlez le langage des ânes, soit vous connaissez toutes les pistes de la brousse par lesquelles ils passent ».

En clair l’EXPÉRIENCE et le SAVOIR s’acquièrent dans la pratique et avec le temps !

« Rien de grand ne se construit dans ce monde sans PASSION »

Le philosophe Allemand HEIDDEGER

Le Musée de l’Eau est cette combinaison des EXPÉRIENCES, des SAVOIRS et de la PASSION d’un homme :   Alassane SAMOURA

En sa qualité de sociologue et d’anthropologue, il a exercé pendant 25 années dans les projets et programmes d’hydraulique en milieu urbain et rural pour mieux appréhender les relations   et les liens visibles et invisibles entre les Hommes, l’Eau et l’Environnement.

En 2005, il constate que la phrase universelle « l’EAU, c’est la VIE » ne valorise que le liquide.

L’Eau n’est pas un simple liquide, elle est aussi un ensemble de valeurs qui méritent d’être connues comme son patrimoine matériel (les canaris, les gobelets, les puisettes, les seaux …), immatériel (les chansons, les symboliques, les mythes, les légendes …)  et naturel (les cours d’eau ).

Donner sens, vie, émotions, discours, pédagogie, éducation à des générations actuelles et futures afin qu’elles prennent conscience des valeurs et des vertus de l’Eau en tant que Trésor de l’Humanité, tel est l’objectif que s’est assigné le fondateur du Musée de l’Eau.  Visiter le Musée de l’Eau sans y être impacté ; avoir un autre regard sur l’eau ou encore changer de comportements dans sa gestion est illusoire voire impossible lors d’une immersion dans cet espace muséal ouvert. 

Mr SAMOURA, a cette ambition de faire du Musée de l’Eau un laboratoire, un centre d’apprentissage, d’études et de recherche, une école d’anthropologie des savoirs endogènes des communautés africaines sur l’Eau.  

Passer du Musée de l’Eau au Musée Mondial de l’Eau, tel est le plus grand rêve de Mr Alassane SAMOURA. L’Histoire nous le dira !